NERO

de Christoph GIRARDET
2006 / Betacam SP / couleur / sonore / 1E / 2' 30

Un garçon debout, presque immobile, à la fenêtre d'une villa romaine regarde la ville brûler. Le cinéma sentimental des années cinquante rencontre le kitsch historisant. Une voix féminine ajoute de la tension psychologique. Phrase maternelle, monologue intérieur ou projection de la mémoire ? "Les gens que l'on aime ne meurent pas vraiment."

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format de distribution Fichier sur serveur (PAL)
cadre de projection 4/3 (simple écran)
vitesse de projection 25 ips
son son
prix de location 30,00 €