de Aleksandr BALAGURA
2012 / coul-n&b / sonore / 1E / 111' 51 |
« ... Tout a commencé avec une soudaine impression que tout avait changé de façon permanente autour de nous, et dans notre vie dans les quinze ou vingt dernières années. Nous ne faisions jamais attention aux changements qui prennent place autour de nous. Comme si nous n'avions jamais existé et qu'il n'y avait jamais eu toutes ses années.
Le temps d'exposition est la durée de vie d'un objet dans son cadre. Et à cet égard, toute photo n'est pas juste une composition bidimensionnelle, elle a toujours une troisième dimension, la dimension temporelle. Une photo est un voyage dans le temps, une machine à remonter le temps. Entre le Visage ou la Chose ou le Paysage, lesquelles sont toujours sur la photo ? Et qu'en est-il du Photographe ? ... En ayant choisi des photos comme matériau du film et la mémoire comme thème, nous nous trouvons dans un labyrinthe inévitable de souvenirs propres et des souvenirs des autres. Et nous cherchons l'évasion en entrant dans le labyrinthe et dans le matériau de son propre film.
Ce film parle des relations qui se développent entre l'Auteur et le Matériau Brut au coeur du travail créatif au point où le Matériau lui-même devient le personnage principal et l'Auteur doit faire partie du Matériau pour garder la possibilité d'interagir avec Lui, sur un pied d'égalité. »
format de distribution | Fichier sur serveur (FHD) |
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cadre de projection | 16/9 (simple écran) |
vitesse de projection | 25 ips |
son | son |
traduction | anglais (Sous-titrage incrusté) |
prix de location | 262,00 € |