Le court métrage poème KYKLOP est consacré à l'œil mécanique en tant qu'être autonome.
Des roues rondes et des cibles qui lui ressemblent semblent susciter l'intérêt de ce personnage principal.
L'atmosphère est orageuse, tonitruante. Elle rappelle les démons cyclopéens du tonnerre de la Théogonie du poète grec Hésiode.
KYKLOP (2023) est une autre partie autonome du cycle de films de Telemach Wiesinger et Alexander Grebtschenko qui a commencé avec TURBULENCE (2022) et ses paires d'ailes mécaniques.
La combinaison de la conception purement analogique du film de Wiesinger, caractérisée par une finesse technique et une variété impressionnante du grain de la pellicule, et des objets cinétiques et de la musique extrêmement réduite de Grebtschenko permet de nombreuses interprétations. Des questions se posent également au spectateur : Pourquoi le cyclope porte-t-il un haut-parleur au lieu d'une pupille ? Le récepteur est-il ici aussi l'émetteur ?
Comment le niveau sonore créé par les bruits aliénés de la mécanique de la caméra joue-t-il avec les images ?
Tels des magiciens, Telemach Wiesinger et Alexander Grebtschenko sont capables de créer des mondes magiques uniques avec leurs appareils mécaniques.
Levez le rideau sur les illusions !
– Thomas Spiegelmann, 2023
1 COPIE EN DISTRIBUTION
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format de distribution |
16mm |
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cadre de projection |
1,37 - Standard (simple écran) |
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vitesse de projection |
24 ips |
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son |
son optique |
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prix de location |
64,00 € |
