En 1894, un jeune français nommé Pierre Louys, un intellectuel des Humanités, publia un livre de poèmes en proses, intitulé Songs of Bilitis, Bilitis étant un poète grec imaginaire de sa propre invention. En toute coïncidence, la musique que j'ai choisi comme accompagnement de mon film est intitulée Bilitis. Je ne peux pas garantir que les paroles ci-dessous, interprétées par Sarah Brightman, sont celles-ci, mais à nouveau, en toute coincidence elle semblent être du poème de Louys :
« Une femme s'enveloppe de laine blanche. Une autre se couvre de fleurs, avec des feuilles vertes et des raisins. Tandis que moi, je ne vis que quand je suis nu. Mon amant me prend comme je suis, sans robe ni bijoux, ni sandales. Voici Bilitis, plutôt seule. »
L'écran nous présente une séquence d'images arcadiennes, dont l'intention est de faire s'élever la conscience l'équivalent d'une octave complète, et de donner au spectateur une forte indication qu'un courant de clarté traverse l'univers.
Un matin, quand le printemps apparaissait dans les arbres, j’eu une sensation euphorique, en regardant le ciel : un rêve d'or (le nom d'une de mes roses, grimpant dans l'arbre).
Je me suis mis en quête de trouver des images qui illustrait de sentiment. Ce court film en est le résultat. – L.J.
1 COPIE EN DISTRIBUTION
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format de distribution |
Fichier sur serveur (FHD) |
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cadre de projection |
1,37 - Standard (simple écran) |
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vitesse de projection |
24 ips |
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son |
son |
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prix de location |
29,00 € |
