Comme beaucoup de mes films, THUMBNAIL SKETCHES a commencé avec un flipbook. Cependant, ce flipbook là ne "flip" pas vraiment, qui ne se feuillette pas vraiment. Chaque page, au lieu d'être une phase d'une série (comme un photogramme d'un film), contenait un cycle complet de 8 dessins, arrangés en une sorte d'anneau rectangulaire. Le lecteur devait reconstruire l'information de manière conceptuelle, et non plus seulement optique, comme s'il s'agissait d'une mosaïque de planches de bd abstraites. Le film commence avec un prologue "en direct" documentant la forme originale du livre ; puis s'enchaine sa destruction au ciseau, une brève autopsie illustrant les mécaniques du mouvement, et sa renaissance animée éventuelle. L'animation est réalisée par le déplacement des morceaux dans un espace virtuel afin que les 8 phases soient visibles de façon simultanées, une technique en opposition avec le remplacement d'image qui donne l'illusion pour le spectateur d'un mouvement continu. Ce schéma suggère que chaque unité de construction du temps n'a pas besoin de se soumettre à l'hypnotique illusion, qu'en fait un "ligne qui bouge" n'est pas aussi simple qu'on pourrait le croire. – G.G.
1 COPIE EN DISTRIBUTION
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format de distribution |
Fichier sur serveur (NTSC) |
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cadre de projection |
4/3 (simple écran) |
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vitesse de projection |
29,976 ips |
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son |
son |
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prix de location |
42,00 € |
