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de Teo HERNÁNDEZ
1985-1987 / Super 8mm / couleur / sonore / 1E / 24' 00 |
Film en trois parties « détachables » : Pigeon, matador, tempête, 7 min. 17 sec. ; Réseau de raisins sur un ruisseau sans raison, 9 min. 7 sec. ; Fondu de cirrus sur cithare, 8 min. 20 sec.
Interprètes : Michel Nedjar, Jakobois, Pascal Martin, José-Maria Alfonso, Gaël Badaud.
Bande son : texte écrit et dit par Teo Hernández.
« Samedi 17 janvier 87. Malik, 13h30. TRANCHES. Lire les poèmes en espagnol et les traduire, en lisant toutes les traductions possibles avec hésitation ou interpolations. Faire écouter la Niña de los Peines et essayer d’interpréter le fragment de Lorca sur elle et le duende. Parler des éléments qui viennent se greffer au film : taches, ratures, rayures, sauts, photogrammes surexposés. Un autre film se superpose lentement (action grave et instable du temps) sur l’original. Le film change de couleur, change d’âge, d’identité. Le parcours du travelling latéral, à la manière d’un paravent japonais ou mur qu’on fait glisser. Développer les vues sur la couleur : la vraie, celle qui est dans l’être, et non dans le paraître, imposée (celle du maquillage).
Dimanche 18 janvier 87. Rue des E., 1h40. TRANCHES. En espagnol, tajadas. ¿Tajadas de qué? De n’importe quoi ; cela est important. Le film est cela : tranche, tranché – l’espace, la lumière, la couleur, le temps. Le dessin tranche l’espace. Une ligne c’est ça : trancher notre vision. Surtout ne pas compter, ne pas compter les photogrammes, surtout ne pas calculer. » – Teo Hernández, carnet 15 feuillet 32
format de distribution | Fichier sur serveur (FHD) |
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cadre de projection | 1,37 (simple écran) |
vitesse de projection | 24 ips |
son | son |
langue originale | français |
prix de location | 98,00 € |