Une longue romance de lignes qu'on explore dans cette animation, réalisée sans caméra, créée à la main et colorée par l'animateur de Montréal, Steven Woloshen. Le morceau de jazz, un standard, de Dave Brubeck, Take Five, est le point de départ de cette interprétation visuelle abstraite. En Cinémascope.
« J'ai commencé ce film comme à mon habitude, c'est-à-dire que je n'ai préparé aucun récit, ni personnage ou chapitre avant de commencer cette animation. Alors que je travaillais et que j'écoutais le morceau - au moins vingt fois - la ligne qui se dessinait (elle représentait le son du saxophone) me menait d'un côté et de l'autre du cadre. Deux couleurs principales se sont mises à dominer, et je découpais le film selon des chorus, des soli et des refrains. Bien que Take Five soit un standard du jazz, je le trouve plutôt structuré à la façon d'un air pop. Au final, une structure filmique plus narrative a fait son apparition. »
3 COPIES EN DISTRIBUTION
format de distribution |
35mm |
cadre de projection |
2,35 - Scope (simple écran) |
vitesse de projection |
24 ips |
son |
son optique |
prix de location |
25,00 € |
format de distribution |
DCP sur serveur |
cadre de projection |
2,35 - Scope (simple écran) |
vitesse de projection |
24 ips |
son |
son |
prix de location |
25,00 € |
format de distribution |
Fichier sur serveur (4K) |
cadre de projection |
2,35 - Scope (simple écran) |
vitesse de projection |
24 ips |
son |
son |
prix de location |
25,00 € |