L'idée centrale de la première partie de cette oeuvre est de faire imaginer au spectateur qu'il est sorti ce soir-là dans la rue, entré dans le cinéma où est projeté le film et qu'il fait maintenant la rencontre d'une inconnue, assise à côté de lui dans la salle. Comme dans tous les films de Maurice Lemaître, le son est une partie essentielle de cette oeuvre. C'est lui qui raconte «l'histoire», à la manière d'un monologue intérieur. L'image, pendant la plus grande partie du film, est une illustration autonome, mais qui peut avoir avec le son des rapports indirects, allusifs. Cette image est de plus ciselée de multiples dessins, surimpressions etc., qui la rendent d'une richesse rare.
POUR FAIRE UN FILM, la seconde partie de la séance, est une «invitation à faire un film», ce que l'auteur appelle une oeuvre supertemporelle, parce qu'elle dépasse sans cesse le temps, en intégrant continuellement celui-ci dans un cadre filmique ouvert, d'appel à la création du public lui-même.
2 COPIES EN DISTRIBUTION
format de distribution |
16mm |
cadre de projection |
1,37 - Standard (simple écran) |
vitesse de projection |
24 ips |
son |
son optique |
langue originale |
français |
prix de location |
149,00 € |
format de distribution |
16mm |
cadre de projection |
1,37 - Standard (simple écran) |
vitesse de projection |
24 ips |
son |
son optique |
langue originale |
français |
traduction |
anglais (Sous-titrage incrusté) |
prix de location |
149,00 € |