Le titre du film provient d'un vers de « La tempête » de William Shakespeare, dans lequel Prospero, le véritable duc de Milan, veut reprendre le pouvoir, en usant de manipulations magiques.
Le film traite de la modification architecturale de Milan et, en particulier, de celle du quartier Tre Torri : des bâtiments anciens jusqu’aux bâtiments les plus récents (Palazzo Unicredit, Axa, Allianche, Generali) qui transforment radicalement l’horizon et l’imaginaire de la ville la plus capitaliste de l'Italie.
Pour conclure, le film se réfère à la pièce d'Ansel Kiefer « The Seven Heavenly Palaces », qui propose une vision dystopique de notre présent.