Ni centre du cadre, ni centre de l'objet : dans la presque totalité du film, en l'absence de tout point de focalisation pour le regard, l'œil navigue le long d'une ligne frontière, ombre/lumière, présence/absence, où les deux zones ont même valeur d'intensité. Tantôt immédiatement au-delà, tantôt immédiatement en deçà du seuil de perception du mouvement : peau, ombre, lumière, texture de la matière que le son véhicule et transforme.
« Moins fragile mais non moins attachant, le très beau PRÉSENCE d'Antonietta Pizzorno, Pierre Rovere (...) et Saul Shapiro, donne, avec une musique étrange de Fano, de très gros plans statiques de parties de corps à peine reconnaissables (dos ? muscles du ventre ?), d'un clou sur un mur, d'une couverture qu'on fait lentement bouger. Seulement comparable à AI (LOVE) d'Iimura ou à NEW YORK NEAR SLEEP FOR SASKIA de Peter Hutton. » - Coquecigrue, L'Art Vivant, mai 75
2 COPIES EN DISTRIBUTION
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format de distribution |
Fichier sur serveur (FHD) |
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cadre de projection |
1,37 - Standard (simple écran) |
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vitesse de projection |
24 ips |
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son |
son |
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prix de location |
39,00 € |
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format de distribution |
DCP sur serveur (SMPTE 2K) |
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cadre de projection |
1,37 - Standard (simple écran) |
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vitesse de projection |
24 ips |
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son |
son |
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prix de location |
39,00 € |
