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de Antoni PINENT
1999-2002 / 35mm / couleur / silencieux / 1E / 2' 18
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Film sans caméra.
Un travail conceptuel dont l’objet est de refléter le coté humain du celluloïd comme s’il était une entité vivante. Bien que le celluloïd vierge ressemble à un matériau industriel froid, il ne l’est pas si l’on considère que le cinéma provient du besoin de l’homme de fixer le moment, la vie. Cela jaillit donc d’un acte d’amour, malgré le viol “mutuel” causé par la présence de plusieurs images d’un film très commercialisable. La blessure ainsi que la présence de l’autre afin de renaitre, autrefois saignant à mort, a été évitée. Imaginer l’auteur dans son amour quotidien du celluloïd, un acte qui soigne les blessures du monde, la rédemption enfin. [Ana Isabel Aréjula. Madrid, 2002]
1 COPIE EN DISTRIBUTION
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format de distribution |
Fichier sur serveur (PAL) |
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cadre de projection |
16/9 (simple écran) |
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vitesse de projection |
25 ips |
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son |
silencieux |
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prix de location |
20,00 € |
